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21 Cards in this Set

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Psychose : maladies qui touchent le traitement de l’information.

1. Surcharge d’infos.


2. Perte de contrôle sur sa propre pensée et vécu subjectif d’influence extérieure.


3. Exacerbation de sa sensibilité à l’environnement.


4. Détresse et rétrécissement du champ d’action.


5. Interprétation de l’expérience et reconstruction de la réalité.

Hallucinations et délires —> continuum selon (4)

1. Degré de conviction.


2. Intensité de la préoccupation.


3. Vraisemblance.


4. Existence de facteurs culturels.

Trois syndromes de la SZ :

1. Syndrome de distorsion de la réalité (symptômes positifs).


2. Syndrome de désorganisation langagière/ conceptuelle et motrice : discours décousu, instable, affects inappropriés.


3. Syndrome d’appauvrissement (symptômes négatifs).

Trois formes de troubles psychotiques brefs

1. Trouble psychotique aigu d’allure schizophréniforme.


2. Psychose réactionnelle.


3. Trouble psychotique bref avec début lors du post-partum.

Ce qui peut arriver dans une EE

- Propriété mentale : pensées pas les siennes.


- Identité personnelle : perte sentiment d’identité.


- Unité : être soi-même et autre chose à la fois.


- Limites et différenciations : frontières entre réalité interne et externe plus floues.


- Individuation : Super-conscience.


- Calibration : changement des propriétés physiques du corps.


- Localisation de la conscience : perception de soi de l’extérieur.


- Perception du temps : rupture avec la notion du temps.


- Conscience de soi.


- Intentionnalité : disparition de la pensée vers la notion d’unité.


- Connexion et connaissances : connaissances accrues, empathie accrue, sensation noétique.

À la prise de toxiques (5)

1. Hallucinations intenses, surtout auditives.


2. Distorsions des perceptions.


3. Idées délirantes ou idées de référence.


4. Perturbations psychomotrices : agitation vs. stupeur.


5. Affects anormaux : frayeur vs. extase.


Symptômes positifs de la phase prodromique (4)

- idées et perceptions bizarres.


- preoccupations quasi-délirantes pour son corps, modification de la conscience de soi.


- expériences sensorielles inhabituelles quasi hallucinatoires, sensations corporelles bizarres.


- comportements : tenue et hygiène négligées, bouge sans destination, abus de substances.

Présence et ses altérations (7)

- sens de soi et sens de l’immersion dans le monde : limites de l’identité plus floues.


- Conscience de soi réflexive : capacité à maintenir son sentiment d’identité malgré les changements.


- altération du sens de soi.


- sentiment de vivre son expérience : être auteur de celle-ci ?


- changement dans le vécu de son ancrage au monde : impression d’être un robot.


- Perceptions pas vécues : mécaniques.


- troubles de l’évidence naturelle ou du sens commun : ne pas saisir les significations naturelles du monde, tout semble être une grande illusion.

Sens de la corporalité et ses altérations (6)

- dissociation/dépersonnalisation.


- Distance expérientielle entre subjectivité et existence corporelle : flottement hors du corps, on n’est plus dans son corps.


- Peur de la dissolution, de partir en morceaux.


- modifications morphologiques : le corps semble plus léger, petit.


- Signe du miroir : miroir comme siège de l’identité ?


- Automatisation d’actions motrices : concentration nécessaire.

Flux de la conscience et ses altérations (5)

- fissure expérientielle entre le moi et ses contenus : pensées qui deviennent autonomes, distantes du mois, qui peuvent interférer avec le flux.


- hyper-réflexivité : le sujet se prend pour son propre objet, se voit de l’extérieur.


- perplexité : processus de pensée qui perdent le sens de maîtrise subjective, perçus comme aliénants.


- Difficultés à initier et mener à bien un processus de pensée.


- perturbation de l’expression de soi/communication : ressentir une inadéquation entre ce qui est exprimé et ressenti + les actions ne sont pas inhibées.

Démarcations du moi/non-moi et ses altérations (4)

= les frontières du moi sont fragiles, altération du sentiment d’être l’agent de ses propres expériences :


- sensation d’une transition fluide entre le moi et le monde.


- se sentir envahi par l’interlocuteur.


- Face au miroir : ne pas être sûr de quel côté on est.


- Porter une ceinture large et serrée pour se sentir entier et démarqué.

Centralité/concernement généralisé (5)

= Solipsisme : impression d’être le centre du monde :


- Préoccupations excessives pour des thèmes philosophiques, surnaturels ou métaphysiques.


- Recherche de significations transcendantes.


- subjectivisation du monde : idées de référence.


- Le reste du monde n’existe pas.


- Avoir un accès unique à des niveaux de réalité plus profonds et essentiels, inaccessibles aux autres.

Rôle des troubles cognitifs dans le développement des symptômes (3)

1. Troubles cognitifs = désorganisation de la pensée (relâchement des associations) —> déficit d’inhibition.


2. Troubles cognitifs = Idées délirantes/hallucinations : Liés à des troubles du raisonnement ; liés à des troubles de la cognition sociale et métacognitifs ; liés à une altération du système de contrôle de l’action/agentivité (mémoire de la source).


3. Troubles cognitifs = Symptômes négatifs.

Impact des déficits cognitifs sur la vie quotidienne —> exemples (4)

1. Déficit de la mémoire verbale corrélé au fonctionnement social globale.


2. Déficit de flexibilité corrélé aux difficultés à régler les problèmes interpersonnels en raison de difficultés à élaborer de nouvelles stratégies dans les situations inhabituelles.


3. Déficit des fonctions exécutives corrélé à la mauvaise gestion des activités requises pour gérer une situation quotidienne.


4. Troubles de la mémoire/attention corrélés à l’incapacité à sélectionner et retenir les informations utiles.

6 caractéristiques de RECOS

- Vise à développer les compétences de résolution de problèmes.


- Tient compte du contexte de vie du patient : prend les situations que le patient a pu connaître.


- Psychoéducation.


- collaboration avec l’équipe soignante/suivi individualisé.


- discussion de nouvelles perspectives d’occupation/formation/emploi.


- Évaluation clinique, neuropsychologique et fonctionnelle préalable.

Facteurs de maintien (6)

1. Schémas dysfonctionnels 5


(5).


2. Événements, contextes sociaux (3).


3. Distorsions cognitives (4).


4. Émotions et processus cognitifs associés (3).


5. Evaluations secondaires —> insight (2).


6. Rôle de la DA.

4 caractéristiques/explications des HA, dans la SZ

1. Échec dans la reconnaissance, expériences perçues comme étrangères et séparées de ses propres processus mentaux (3).


2. Peu de contrôlabilité/maîtrise perçue sur la survenue, le contenu et la fréquence des HA (2).


3. Qualité perceptive des HA (activées sans stimuli externes).


4. Rôle des émotions (6)

Comment améliorer l’insight (5)

- Normalisation de la SZ.


- On offre des modèles positifs (avoir plutôt que être).


- on montre que les symptômes ne sont pas si différents du fonctionnement normal.


- on donne un cadre pour apprendre à distinguer ce qui fait partie du trouble de ce qui fait partie de l’identité.


- on donne une image plus positive de la maladie au niveau du grand public.

6 objectifs de la TCC

- minimiser les symptômes négatifs et les facteurs qui contribuent à leur maintien.


- adapter les techniques d’entretien aux déficits cognitifs.


- identifier et remettre en question les vues stigmatisantes de la maladie.


- augmenter la connaissance de soi.


- encourage une structure et routine pour les activités.


- encourage l’augmentation de stimulations sociales et émotionnelles.

4 étapes de la formulation psychologique

1. Évaluation du risque suicidaire.


2. Formuler les hypothèses initiales en décrivant : facteurs de prédisposition, facteurs précipitant le 1er episode, facteurs déclencheurs actuels/antécédents, facteurs de maintien, contenu/nature des symptômes.


3. Clarifier les croyances sur ces expériences —> pourcentage de croyance.


4. Clarifier l’explication donnée à ces phénomènes et dans quelle mesure le patient accepte un modèle de sa maladie (patient pense qu’il est malade ?).

6 objectifs du programme TIPP

- Améliorer l’accessibilité et la continuité des soins.


- améliorer l’engagement dans les soins.


- proposer des équipes spécialisées à chacune des étapes.


- Développer le suivi dans le milieu.


- Soutenir spécifiquement les familles.


- Diminuer la DPNT.